En tous les cas, on en retiendra une chose, c'est que les musiques plus la chorégraphie font de ce Tekken un magnifique film d'arts martiaux qui mérite une note bien supérieure à celle donnée actuellement.
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0 L'histoire est nul.. loin de l'histoire du jeu et un peu bâclé 0 Le clou est enfoncé par sa mise en scène abominable, clipesque, baveuse, plus épileptique que nerveuse, mal montée, aux caméras qui ne savent jamais quand se poser et font n'importe quoi pour dynamiser ses scènes. Visuel (Décor, ambiance, effets spéciaux) : 5 / 5 Tekken 6 est un jeu vidéo de combat développé par Namco Bandai sous la direction de Katsuhiro Harada.Initialement sorti en arcade au Japon en novembre 2007, le jeu bénéficie d'ajouts dans une mise à jour sous-titrée Bloodline Rebellion en décembre 2008.Puis, il est adapté sur console en 2009 sur PlayStation 3, Xbox 360 et PlayStation Portable. Après l'effort, le réconfort?
Et wow. Lire ses 1 253 critiques Bon bha on s'en fou alors. PlayStation. Battit sur des fondations douteuses, plombé par l'idée même d'adapter son sujet, cette première version de l'univers vidéoludique de Capcom et Namco fait comprendre au spectateur qu'elle sera, dès son introduction, un bordel infâme, mauvais, duquel on pourra quand même tirer grand plaisir. 0 Suivre son activité Whouah, que c'est nul !
Tekken 2009.
(il trompe sa copine quand même et est souvent tenté par le meurtre) Les jeux étaient bon, il y avait quelque chose a faire avec cette histoire malheureusement, l'histoire est mal amené on s'ennuis vite lorsque que l'on connait les jeux tekken, et les réalisateurs n'ont vraiment pas respecter la véritable histoire. A regarder à la va-vite 360 0 0% TOMATOMETER Total Count: 6 31% Audience Score User Ratings: 11,280.
Le film n'est pas du tout fidele aux jeux.
TEKKEN 5. La tekken force qui ce balade en tenue de Kendo, Raven avec un famas, Christie qui ne fais pas de capoeira et qui porte ses pantalons à l'envers. A mettre dans le même sac qu'un certain "Dragon Ball Evolution". Le principe d'adapter Tekken, s'il était complètement idiot, le principe du jeu n'étant pas intéressant de nature pour le cinéma, amène malgré lui à ce qu'on pourrait considérer comme le haut du panier des nanars de son temps. Les combats ont de quoi donner aux spectateurs la montée d'adrénaline que l'on est en droit d'attendre de la part d'un film d'arts martiaux, et plus encore (et avec la musique, c'est encore mieux), le scénario, s'il peut être jugé de "classique" par certains n'est pas mauvais.
Lire ses 47 critiques Lien familial ? Miguel est juste ridicule et Dragonov fais tâche dans son costume, le vrai Dragonov a des épaules deux fois plus large que l'acteur. Suivre son activité Dès ce moment, on rigole à gorge déployée; le comble interviendra par le biais du design des personnages, dont un Heihachi, aux sourcils plus effrayants que ceux de Morgan Freeman dans l'incroyable Dreamcatcher.
Interagissant avec Jin au travers de flash-backs affreusement filtrés (le vert-jaune est insupportable à l'oeil) et annonciateurs de toutes les remises en question futures que connaîtra notre héro, elle a surtout le manque d'éducation de s'incruster à chaque combat de ce dernier, reprenant, ce n'est pas surprenant, chaque fois l'inversement des rôles par la simple volonté de fer de Kazama.
Les acteurs sont à la ramasse, le scénario est absent. Jin Kazama, Eddy Gordo, Bryan Fury, c'est vite fait suffisamment navrant pour finir bouche-bée, fasciné par tant d'obstination dans le grand n'importe quoi.